Attention ce texte relève d'un exploit confondant mythe et réalité (mais surtout réalité) tout ressemblance avec une personne existante n'est surement pas fortuite, et quoi que vous disiez, c'est moi qui décide alors, na!
L'auteur de ce texte ne prendra part à aucune responsabilité si le texte ci-dessous provoque un incident grave (cas de crise épileptique, crise cardiaque où choc cérébrale) Cela dit, bonne lecture ne restez pas collez a votre écran, vous risquez de ne pas pouvoir tout lire
Bels et biens perdus, nos trois protagonistes étaient maintenant entourés d’un brouillard que l’on aurait bien pu couper au sertisseur. La tentions montait au sein du groupe des trois membres, mais, sans que les deux autres ne s’en rendent compte, Broulg (le bworky, hein, dois-je vraiment préciser cela ? Vous suivez, j’espère ?).
Donc Broulg avait continué a marché droit devant, en fermant les yeux, c’est plus facile pour braver le danger. Quand ils s’en rendirent compte Georgette et Bernardo essayèrent de le suivre, quand ils entendirent un bruit venant de derrière… (Ou peut-être plus un grognement)
-Brrroooouuuulgggg !!
Ils accoururent vers le bruit, là ils y trouvèrent le troisième de leurs membres par terre, avec une bosse énorme sur le front, que c’était-il donc passé ?!
Un mur se dressait devant eux, eh oui, marché les yeux fermés, c’est vraiment une habitude de bwork, le pire c’est qu’il s’était mis à courir en plus.
Remis de ces événements, les trois animaux se mirent à observer le mur, sur celui-ci se trouvait une pancarte, on pouvait y lire :
« Oni soit qui mal y pense »
De toute évidence, il ne comprenait rien à ce que cela voulait dire, et c’est en le lisant à voix haute, comme il le fait toujours, que Broulg déclencha un mécanisme qui consistait à capté un son afin de faire vibrer de l’eau rempli d’une poudre temporel, qui actionnerait… En fin de compte le mécanisme ne marchait pas, tout ce qui arriva c’est que Georgette se prit un seau d’eau mélangée à de la poudre temporelle qui avait bien fait son temps, imaginé un peu la sensation…
Bernardo, d‘un trait d’esprit plus qu’éloquent et malin, remarqua, 5 mètres plus loin, une porte menant peut-être de l’autre côté du mur…
Qu’y a-t-il donc derrière ce mur ?! Qu’est-ce donc que cette inscription sur la pancarte?! Et qu’en est-il de Droofy, dort-il toujours ? Ou, est-il déjà en train de faire cuir des boulettes d’insecte marinant dans la sauce au jus de plume de bouftou qu’il sait si bien faire dont il garde la recette secrète et cacher dans un château, se trouvant rue des boucher, la troisième à gauche au volet vert à pois mauve ?
Tout cela ne vous sera pas révélé pour des raisons de copyright et de respect d’autrui.
Le dernier paragraphe à pour but de vous faire lire la suite de mes textes, faite le, ou je vous fait manger les pissenlits diaboliques par la racine !