Ordre des Chevaliers de Mystra
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 [BG]La leçon du silence.

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Elrawen

Elrawen


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Quelques informations...
Race: Iopette soignante
Guilde: Les Pasouvenla
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MessageSujet: [BG]La leçon du silence.   [BG]La leçon du silence. Icon_minitimeDim 28 Fév - 5:18

Mes yeux clignèrent une fois, puis deux, mais je fus incapable de les ouvrir entièrement. La lumière dans la pièce était faible, presque imperceptible. J’entends des chuchotements, mais je ne vois personne. J'ai mal, mais je suis incapable de bouger ou encore de pleurer. Mon corps ne répond plus, mon esprit ne répond plus.

Je me réveille, un homme est avec moi, il me demande si je vais bien, je suis incapable de répondre comme si ma bouche était scellées. Il part sans rien dire d'autre, laissant une jolie dame rentrer.
Elle porte un plateau de nourriture, je réalise alors que j'ai très faim, elle me fait manger. Elle est vraiment très belle, mais ne me parle pas. Je lui pose des questions mais elle ne me répond pas, me forçant à manger dans le silence. Après le repas, j'ai continué à lui poser des questions. Pourquoi suis-je ici? Où sont mes parents? Aucune réponse sinon le signe qu’elle me fit pour m’induire au silence. Je tenta de me rappeler moi même. Je ferma les yeux. Je vois...Je vois... De la fumer, j'entends...j'entends des cris, mon nom, des pleurs et des supplications. Je suis prise de nausée, recrachant mon diner.

La dame m’a amenée hors de ma chambre, dans une autre pièce où se trouvait un homme avec une grande lanière de cuir. La dame s'est mise à genoux devant moi, m'a retiré mon chandail et m'a regardé longuement dans les yeux. Un gros bruit, une douleur aigüe et un cri qui sort de ma bouche. Elle me fait le signe du silence. Encore le bruit, la douleur, le cri et le même geste a répétition. Encore et encore. Puis ça arrête. La femme me remet mon vêtement, me prend dans ses bras et me porte à ma chambre.

Pourquoi? Pourquoi me faire ça? Pourquoi ce silence?


Chaque jours, la dame venait me chercher, me nourrissait et m'amenait à la torture. Pleurant silencieusement, suppliant mes parents de venir me chercher, qui venaient simplement me rejoindre dans mes songes. Ça dura des semaines? Des mois? Des années? Je me pose encore la question aujourd'hui... Un jour, ça je le sais, j'ai arrêtée de pleurer et de crier, hypnotisée par le même geste répétitif de la femme aux yeux verts. Les coups de fouets arrêtèrent par la même occasion. Ce fut la premièrement fois je la vis sourire, la rendant encore plus belle. Je me suis relevée, chaque partie de mon corps tremblait. Je regagnai seule ma chambre... Fixant un mur de la pièce sans fenêtre... Je n'avais plus la force de pleurer, de crier ni de supplier... Mais j'avais toujours la même question en tête, qui était presque aussi brûlante que les parties balafrées de mon corps.

La dame m'apportait maintenant deux repas par jour, composés essentiellement de viande rouge. Elle restait à peine le temps du repas pour ensuite me laisser seule.

Je dessinais beaucoup, tentant d'immortaliser le portait de mes parents, mais plus les jours avançaient, plus j'oubliais : leur voix, leurs manies, les traits de leur visage, s'estompaient un par un. Je me mis ensuite à imaginer ma vie à l'extérieur de ces murs, de ces murs sombres, que mon prince charmant venait me chercher. Un homme fort, à la peau blanche comme neige, les cheveux d'ébène et les yeux d'un bleu profond. Un rêve de petite fille, cousu de fil en aiguille. M'imaginant courir pieds nus dans l'herbe fraîche. Rire! Crier! Crier tout ce que j'avais à dire. Admirer le ciel bleu d'azur, voilà si longtemps que je ne l'avais pas vu. Les couleurs devenaient abstraites. Le vert de l'herbe, le bleu de la mer d'Asse, le blanc des nuages qui rendaient les journées d'été si agréables. Ces petites choses bienfaisantes qui pour moi ne voulaient plus dire grand chose. Le genre de choses que les humains vivant une vie normale, paisible, ne prenaient plus la peine d'apprécier. Le sable chaud de l'île Moon sur ses orteils, le vent frais de la mer qui souffle dans nos cheveux, ou simplement la lune qui veille sur nos prières et nos songes. Je ne sais pas ce que j'aurais fait pour que mon prince vienne me chercher, me remontrer toutes les merveilles de la Terre, me réapprendre à rire et à sourire. M'apporter loin de ces murs, de ce silence qui dévorait peu à peu mon âme et ma conscience.

Je n'avais pas conscience du temps qui passait, ne voyant jamais la lune se coucher ou se lever, je vivais au rythme de la dame, me réveillant exactement quelques minutes avant qu'elle vienne m'apporter mon repas et me couchant quand elle venait le reprendre.

Je croyais pas que pire pouvais m'arriver.

Un jour je me réveillai, enfilant mes vêtements d'un blanc impeccable malheureusement, tout de même tâchés de rouges. La dame allait arriver d'un moment à l'autre. Quand la porte s'ouvrit, ce ne fut pas elle qui rentra, mais un grand homme-chat au pelage brun. Je restai surprise devant lui. Fortement musclé, il portait des vêtements de cuir noir moulant. Il avait le visage balafré de profondes cicatrices. Il était très grand et dégageait une aura intimidante. Je reculai de plusieurs pas à son approche. Il eu un petit rictus avant de me gifler avec violence. Sous l'impact du coup je revola et percuta le mur avec force.


"Ne recule et ne montre jamais ta peur devant personne petite vermine incapable."

Je leva les yeux vers lui. Il y avait fort longtemps que je n'avais pas entendu de voix, mais elle ne pouvait être moins amicale... Je me releva avec difficulté, ignorant la douleur de ma mâchoire. Je me planta devant lui, serrant les poings et le fixant dans les yeux, cachant du mieux que possible ma peur. Il eu un nouveau rire, je ferma les yeux, attendant une nouvelle attaque de sa part, mais rien ne vint. J'ouvris les yeux, il était devant moi les bras croisés.

Je retins mal mon soupire de soulagement. Il se mit à genoux devant moi et pris ma mâchoire douloureuse entre son pouce et son index. Il observa longtemps mes yeux puis commença à tâter avec force mon cou, descendant aux épaules. Je me fis violence pour rester sur mes jambes face à son examen brusque de mon corps. Il s'attaqua à mes bras, puis à mes jambes. Il soupira à plusieurs reprises. Il me retourna brusquement et fit la même chose avec mon dos. Je l'entendis se relever, un claquement de porte, et des bruits de pas dans le corridor. Je n'osa pas me retourner avant de n'entendre plus le moindre son. Je soupira de soulagement, desserrant enfin les poings. Ma tranquillité fut de courte durée, que la porte s'ouvrit de nouveau. Je me retourne lentement, pour faire face au nouvel arrivant. Cette fois ce fut bien la dame qui rentra avec le plateau de nourriture habituel. Un sourire flottait sur ses lèvres couleur de sang, elle me le donna, tourna les talons et partit. Je me demandai bien ce que l'homme me voulait. A peine j'eus finit de manger que la dame rentra à nouveau dans la pièce accompagnée de l'Ecaflip. Elle me prit part la main, et m'amena à l'homme balafré, m'indiquant de le suivre. L’homme m'attrapa part l'épaule et commença à avancer à grand pas dans le corridor, j’eus peine à le suivre. Tournant brusquement, sans avertissement, m'amena plus loin que jamais je n'étais allée.

Le sol froid résonnait sous les pas du grand félin. J’avais de plus en plus de mal à le suivre, mes yeux parcourant les portes de l’étroit couloir où nous marchions depuis plusieurs minutes. Je me posa à ce moment là une question qui résonna dans ma tête pendant plusieurs jours : en a-t-il d’autres comme moi ? Prisonniers de ces murs et du silence, laissés dans l’ignorance et la douleur ? Des enfants de mon âge retirés de force ;a leurs parents et êtres chers. Peut-être … peut-être pourrais-je leur parler, tenter de comprendre avec eux. Mais sais-je simplement encore parler ? Ça fait si longtemps … Mon nom ? Je ne l’ai pas entendu depuis des années sûrement. Enfin si … De la voix de mes parents, dans mes rêves de plus en plus flous chaque nuit dans cet antre. Je fus sortie de mes pensées par un cri de damné. La porte à ma droite fut percutée, un homme cria et supplia de le faire sortir. Je tenta de m’accrocher à quelque chose de réconfortant, ne trouvant que le vide. Les portes défilaient à nos côtés, laissant sur notre passage sanglots et silence de mort. Nous nous arrêtions devant une porte de bois massif. Il y a si longtemps que je n’avais pas vu de bois que j'eus peur de ne pas reconnaître la matière. J’avança la main vers l’encadrement, la touchant délicatement du bout des doigts. Du bois … ça me semblait si familier, plus que la nourriture que je mange ou l’eau que j’avale.
« Le bois est la source de la vie, il nous couvre, nous réchauffe et nous permet de faire des armes pour nous nourrir. »
La voix résonna dans ma tête, une voix si familière et à la fois inconnue. Je tourna vivement la tête vers l’homme. Ce n’était certainement pas lui, trop occupé à fouiller dans son sac. J’étais devenue folle … Non ça faisait déjà quelques temps que je l’étais, et je le savais.
Je tourna à nouveau la tête vers les portes blindées, un puissant sentiment de crainte envahit mes veines, plus puissant que celui que j’avais constamment depuis mon arrivée. Vais-je un jour sortir d’ici, revoir la lumière du soleil et sentir sa chaleur ? Et les autres enfants ? Et l’homme qui nous a supplié ? Allons-nous sortir d’ici un jour ? Mon vœu se réalisa plus vite que prévu, j’entendis le grincement de la porte, je tourna lentement la tête pour me retrouver dos à elle. La douleur fut si intense que je ne pu la reconnaître, comme un fer brûlé à blanc sur mes pupilles. Une pression sur ma nuque et on me lança de l’autre côté. Je m’écorcha les genoux sur le sol en retombant, la douleur à mes yeux toujours présente. Je resta quelques secondes sur le sol, s’étendant comme une paume sur ma peau maintenant habituée à la noirceur de la caverne des démons. Je hurla de douleur quand je sentis les rayons de l’étoile solaire la brûler vive, elle rendue si pâle et sensible. Tout ce que je reçu pour me sauver ce fut un coup aux côtes, me propulsant à l’ombre d’une colonne du terrain. Je me roula en boule au pied de celle-ci, incapable d’ouvrir les yeux.

« Ça fait mal pas vrai petit rat ? déclara une voix faussement douce à mon oreille. Maintenant tu apprécies mieux la quiétude de ta nouvelle maison ? Nous qui te protégeons et te nourrissons chaque jours. Alors, tu vas m’écouter attentivement. »

L’homme à mes côtés attrapa ma main la plaçant au soleil. Je retins mal un nouveau hurlement de douleur.

« Et sans un mot. »

Je pouvais sentir son souffle rauque contre mon oreille et mon cou.

« Le monde extérieur est sale, des rapaces y vivent au grand jour, ils sont nombreux… Trop nombreux. Voilà pourquoi tu es là, pour nous aider à les éradiquer. Peut-être n’es-tu déjà plus là dans ton esprit, rendue une pierre d’âme vide dans un petit corps fragile et pâle. Et peut-être que non. Si c’est le cas nous seront obligés de te tuer, les couloirs sont déjà pleins de vermines de cette espèce. Ayant préféré détruire leurs esprits plutôt que vivre dans notre belle famille. Alors fais moi l’honneur et prouve moi le contraire. »

Il m’attrapa à nouveau par la nuque m’entrainant vers la maison. Je serra les dents quand nous passions sous le soleil. Quand enfin nous rejoignîmes l’enceinte des murs, je poussa un faible soupire de soulagement, sentant l’humidité rafraichissante sur mes brûlures. La lumière du jour avait brûlée ma rétine, m’empêchant de bien voir autour de moi, sinon des formes floues. Je trébucha entre les pierres au sol. Le tortionnaire m’agrippa par les cheveux brusquement. Ah comme j’apprécia le moment où je fus dans ma chambre. Je me coucha douloureusement sur mes draps moisis, touchant ma chair à vif. Un gout de sang monta à ma gorge, un goût de sang a saveur de vengeance. Et s’il disait vrai ? Si j’étais en fait une coquille vide sans âme ? Comment le savoir ? Il y en aurait d’autres comme moi, possiblement avec le même gout dans la gorge.
Je me coucha sur le dos, laissant mes yeux blessés clos malgré l’obscurité. Les larmes sur mes pupilles apaisaient la douleur. J’avais toujours eu peur du noir plus jeune, en ce moment je l’appréciais pleinement, comme un baume, ou la caresse d’une mère sur mes blessures. Une montée de larmes se fit à cette pensée. J’étais si près du but, j’étais à l’extérieur, j’aurais dû courir, m’enfuir, le semer. Mais j’étais restée là comme un animal blessé, fragile, terrorisé, attendant qu’on le sauve. Je savais bien qu’on ne me sauverait pas, après tout ce temps, j’avais perdu tout espoir. Si je voulais partir je devais le faire moi-même. Seule, contre eux, aussi nombreux soient-ils. Je devais trouver un moyen de parler aux autres prisonniers, mais comment si je ne peux pas sortir de ma chambre. Je pouvais tenter de passer des notes … Non, trop risqué et si les gardes les trouvaient ? D’autant qu’il n’était pas sûr que les enfants sachent lire et écrire. Communiquer avec eux en restant discret …

Une croute c’était formée sur mes yeux durant la nuit, m’empêchant de les ouvrir.

...

Le temps passa...Combien de temps ? Peut-être des années ? Je tentais de me repérer avec les repas de la dames pour compter les jours. Mais le véritablement changement, je le vis dans mon corps. Dans n'importe quel environnement, une corps d'une gamine, passe de adolescente a femmes. Je pris des formes et un changement plus discret, mais si dégoutant fut le regard des gardes et de mon entraineur. Un lueur dans les yeux, une lueur de perversité, une langue qui passe sur les lèvres en mon passage, où des ricanements. Je reçu en cadeau de nouveau vêtements de la pars de l'homme félin. Enfin, vêtements si on pouvait appeler ça comme ça. Du cuir rouge, une simple jupe et un corset qui laissait pas beaucoup de place à l'imagination.
En plus des séance de torture, qui n'avais toujours pas arrêtées, j'avais droit maintenant à des cours de combat...Très intensif... Enfin, c'était plutôt calme, du lever du soleil, jusqu'à ce que je tombe, incapable de bouger. Quelques fois je me battais contre mon entraineur, d'autres fois, contre des créatures capturés et envoyés contre moi.

En cette journée, j'étais assis sur un tabouret, occupée à me faire brûler, mais je sentais presque plus rien, rendue une macabre habitude. Aujourd'hui les brûlures, hier les lacérations de couteaux demain les coups de bâtons. Je finis pars me lever, attrapant une serviette au passage pour l'appuyer sur mes blessures. J'avais un avantage plutôt très pratique et combien agréable que je tenais de ma mère. Je pouvais soigner mes blessures aussitôt sortie de la salle de discipline. Je laissa tomber le bout de tissus en parcourant un couloir, comme à tout les jours désormais depuis déjà des semaines ? Des mois ? Des années ? Le regard dur devant moi, ignorant les gardes qui sifflaient à mon passage. Je sentie une main se poser sur mon épaule et une autre sur mes fesses.

«Salut chérie...Ça te dit de...»

Je lui laissa pas le temps de finir sa phrase que j'empoigna son arme, prenant pas le temps de réaliser que c'était un large marteau, et lui fracassa sur le côté de la mâchoire. Je lui donna un coup de pied dans les côtes pour le retourner et me plaça au dessus de lui. Je sentie l'excitation monter en moi de le voir aussi démuni et apeurer. Je rangea le marteau à ma ceinture et me détourna de la scène à la fois déroutante et envoutante. Je me posa même pas la question de si j'allais être punie : Je savais que j'allais l'être pour le simple fait d'être en retard.

J' eu à peine passée la porte qui mène à l'arène d'entrainement que j'entendis une voix me dire que effectivement j'étais en retard. L'homme félin s'avança vers moi, une main sur la ganse de son épée de bois accrochée à sa ceinture. Je ne pris pas la peine d'esquiver la gifle bien méritée au visage. C'est sans autre cérémonie et du revers de la main qu'il me démontra un manège de bois composer de plusieurs petite poutrelles de bois pas plus large que ma main. C'était un exercice basique qui considérait à se battre dans une situation précaire, inconfortable et à travailler mon agilité. Je préférais cent fois mieux faire ça qu'être dans les quartiers scientifique. Entourée de tous ces êtres étranges et louches, qui m'injectaient des produits plus étranges et brûlants les uns que les autre, où encore lire des parchemins dans des langues inconnues, supposés me donner de la force. Même si j'avais bel et bien ressentie du changement, je préférais éviter de plus que possible, même si j'en étais bien incapable.
Je grimpa rapidement sur les poutrelles, trouvant un équilibre juste avant de me faire attaquer au niveau de mes jambes. Un saut me permis de l'éviter et je retomba sur la structure de bois bancale. Nous fîmes ça pendant des heures, attaquant, esquivant, contre-attaquant encore et toujours. Je fus surprise mais soulagée quand il m'annonça que c'était terminé. C'est le corps tremblant et épuisé que je me rendis vers la porte de sortie.

Sans attente, je le sentie m'agripper pars les épaules pour me retourner vers lui. Le regard fiévreux il me regarda longuement, chaqu'uns de mes aspects physique. Je recula de quelques pas que lui emboita avec lenteur jusqu'à ce que je percute un mur. Il approcha son visage vers moi, je ne comprenais pas ce qu'il voulait, mais pas automatisme je la détourna. Un petit ricanement et une paire de griffes dans la peau de mon visage me fit retourner vers lui. Il plaqua ses lèvres sèches sur les miennes, tentant avec sa langue de ses frayer un chemin entres-elles. Je la sentie en moi, comme une limace chaude et visqueuse, remuant avec joie et fureur. Il se détacha finalement me moi, une lueur sadique dans les yeux.

«Ne bouge surtout pas...»


...



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